Tout d’abord, il est important d’éliminer quelques malentendus. Les restaurants italiens ne sont pas des restaurants de pâtes. Bien évidemment les pâtes sont une partie importante de la gastronomie italienne mais ça ne doit pas faire oublier les autres spécialités de la botte, comme les très bons et variés hors d’œuvres, les plats de viande et de poisson, sans omettre les risotti, la polenta etc. C'est dans le souci de vous faire découvrir la véritable cuisine italienne que le choix des bons restaurants a été réalisé sur la base de deux principes fondamentaux : la qualité des plats et l’authenticité.

C’est dans un cadre épuré réchauffé par des touches de lumière dorée qu’on découvre l’univers de Fabrizio Rossi et son équipe. La carte propose un éveil crescendo aux plats de niche et authentiques italiens, et invite à une dégustation parfois primitive.

Ouvert depuis moins d’un an le restaurant Da Valentina a déjà ses clients réguliers. La recette est simple, une cuisine dans le pur sillon de la tradition. Pas de chichis, pas de secousses, ici on vient pour l’esprit de la cuisine hérité des grand-mères. Même si, aux manettes, on trouve une jeune fille, Valentina justement.

Nous avons rendu visite à Pianoterra un froid midi de décembre. Le restaurant est accueillant, lumineux au décor sobre et original.

Il y a des restaurants qui se fondent dans la masse et d’autres qui d’emblée sortent du lot en offrant une expérience unique. Caffè Stern fait partie de ces derniers. On le comprend dès le départ. Dès le premier contact avec le personnel, particulièrement attentionné et professionnel. On sent qu’ils sont tous soucieux de rendre l’expérience du client la plus satisfaisante possible.

Barbara et Michele ont ouvert il y a quelques mois ce petit restaurant sur le canal Saint-Martin. Michele avait une longue expérience aux fourneaux, Barbara travaillait dans la mode. Ils ont voulu créer un espace à leur image avec leurs valeurs. Le restaurant porte bien son nom car la générosité de ce couple charmant est perceptible dès le seuil franchi.

Le restaurant d’Alberico Penati vient de traverser la Seine, perdant ainsi un arrondissement. Un changement salutaire. Une fois quitté le local aux lourdes boiseries sombres, aux épais rideaux, à la porte à tambour et d’autres « aménités » de ce genre, l’équipe du chef milanais s’épanouit dans un espace plus aéré, élégant, lumineux, coloré. Le bonheur retrouvé se perçoit clairement dans

Disons-le tout de suite ce n'est pas l'endroit où vous pourrez vous entraîner à parler italien. J'y suis allé à midi et pas l'ombre d'un italophone, sauf le propriétaire, originaire de Vérone. D'ailleurs, à midi, même le cuisinier ne vient pas du Belpaese, dixit le serveur. Ce dernier, particulièrement courtois et efficace, il avait du mal à situer la Campanie quand il m'a servi le vin. Un verre de

Libero est un nouveau restaurant italien dans le onzième arrondissement, à deux pas de la Maison des Metallos. Non pas l’onzième branché où les débits de nourriture en tout genre se multiplient mais plutôt celui plus populaire et discret. Facile à repérer qui plus est, c’est pratiquement le seul de la rue.

Les restaurants ouverts depuis peu ont toujours quelques défauts à se faire pardonner. Que ce soit en cuisine, ou pour le service, le vin... C’est normal. Il y a toujours un temps de rodage. Il faut faire œuvre d’indulgence. Déjeunant chez Claudia, qui n’a que quelques mois au compteur, ma première surprise ce fut justement l’absence de reproche.

Nous avions testé Polpette à l’ouverture. Le four à pizza n’était pas encore opérationnel et le restaurant en pleine période de rodage. Trois ans et une pandémie plus tard, le restaurant semble avoir trouvé son identité. Tout ce que nous avons goûté était convaincant : Poulpe grillé, parmigiana di melanzane, burrata et bien évidemment des polpette…